Ce déplacement en Biélorussie était à craindre pour l'équipe de France. Dominateurs, les bleus ne sont jamais parvenus à trouver la faille.L'équipe de France a été tenue en échec ce mardi soir en Biélorussie (0-0) pour son premier match de qualification en vue de la Coupe du Monde 2018. Retrouvez ci-dessous le résumé de la rencontre et les notes du match.Il y avait toujours un pied, une barre et bon gardien biélorusse. Griezmann, Giroud, Gameiro ou Dembélé n'ont rien pu faire. La France prend tout de même un bon point et se lance vers la coupe du monde 2018.
Une défense qui maîtrise son sujet
Pour faire changer les choses en 2e mi-temps, Fernando Santos a sorti William et Eder en les remplaçant par André Silva et João Mário (étonnamment non titulaire ce soir). Néanmoins, la physionomie du match n'a pas changé : le Portugal a pratiquement toujours joué dans le camp suisse mais a aussi toujours buté sur la muraille défensive helvète.Laurent Koscielny est bel et bien le nouveau patron de cette défense tricolore. Malgré le retour de Raphaël Varane, c’est le Gunner qui dégage le plus d’assurance dans ses interventions. Pourvue de son leader, la défense des Bleus n’a pas vraiment été inquiétée par les attaquants biélorusses, incapables de venir inquiéter Steve Mandanda, qui n’a donc pas eu beaucoup de travail dans les buts.. La sélection de Fernando Santos a aussi été très inefficace sur coups de pied arrêtés. Sur tous les corners dont elle a bénéficié, elle n'a jamais été dangereuse... Nani a disposé de l'occasion la plus dangereuse mais le ballon a fini par toucher le poteau. Rien à faire, il y avait toujours un pied, un genou ou un poteau pour contrer les actions portugaises...
Une défense qui maîtrise son sujet
Pour faire changer les choses en 2e mi-temps, Fernando Santos a sorti William et Eder en les remplaçant par André Silva et João Mário (étonnamment non titulaire ce soir). Néanmoins, la physionomie du match n'a pas changé : le Portugal a pratiquement toujours joué dans le camp suisse mais a aussi toujours buté sur la muraille défensive helvète.Laurent Koscielny est bel et bien le nouveau patron de cette défense tricolore. Malgré le retour de Raphaël Varane, c’est le Gunner qui dégage le plus d’assurance dans ses interventions. Pourvue de son leader, la défense des Bleus n’a pas vraiment été inquiétée par les attaquants biélorusses, incapables de venir inquiéter Steve Mandanda, qui n’a donc pas eu beaucoup de travail dans les buts.. La sélection de Fernando Santos a aussi été très inefficace sur coups de pied arrêtés. Sur tous les corners dont elle a bénéficié, elle n'a jamais été dangereuse... Nani a disposé de l'occasion la plus dangereuse mais le ballon a fini par toucher le poteau. Rien à faire, il y avait toujours un pied, un genou ou un poteau pour contrer les actions portugaises...